<< [Retour aux communiqués de presse] Reitmans (Canada) Limitée annonce ses résultats pour les périodes de 13 et de 52 semaines closes le 1er février 2020 1 mai 2020 MONTRÉAL, le 1er mai 2020 /CNW Telbec/ - Les résultats d'exploitation de la société pour les 13 semaines closes le 1er février 2020 (le « quatrième trimestre de l'exercice 2020 ») et les 52 semaines closes le 1er février 2020 (« exercice 2020 ») n'ont pas été à la hauteur des attentes de la société, en raison surtout de la performance financière décevante des bannières taille plus de la société. Les changements stratégiques visant les marques mis en œuvre au début de l'exercice n'ont pas réussi à rejoindre la clientèle visée par ces bannières. Bien qu'une série de mesures correctives aient été mises en place afin d'accroître la rentabilité, leur mise en œuvre a eu lieu vers la fin de l'exercice 2020 et on ne prévoyait pas qu'elles aient un effet sur les résultats d'exploitation, ni n'en ont-elles eu. À moins d'indications contraires, les résultats de la société pour le quatrième trimestre de l'exercice 2020 et ses résultats pour l'exercice 2020 rendent compte de l'incidence de la mise en œuvre de l'IFRS 16, comme il en est question ci-après à la rubrique « Adoption de l'IFRS 16, Contrats de location ». Période de 52 semaines close le 1er février 2020 Les ventes de l'exercice 2020 ont diminué de 53,5 millions de dollars, ou 5,8 %, pour s'établir à 869,5 millions de dollars, en regard de la période de 52 semaines close le 2 février 2019 (« exercice 2019 »). La diminution des ventes tient principalement à une baisse des ventes de les bannières taille plus, à une réduction nette de 18 magasins et à des conditions météorologiques inhabituelles qui ont prévalu au cours de la première partie de l'exercice 2020. La société continue d'exécuter son plan de vente dans le contexte omnicanal du secteur du détail en réduisant la présence de ses magasins dans certains marchés tout en améliorant ses capacités de commerce électronique. Les ventes de magasins comparables1, qui comprennent les ventes en magasin et les ventes du commerce électronique, ont diminué de 1,3 %. La diminution tient essentiellement au fait que l'achalandage des magasins a reculé de 2,2 % pour l'exercice 2020. La société continue d'enregistrer une vigoureuse croissance grâce à ses canaux de vente en ligne. La marge brute de l'exercice 2020 a diminué de 65,1 millions de dollars, ou 12,8 %, pour s'établir à 444,4 millions de dollars, comparativement à 509,5 millions de dollars pour l'exercice 2019. La marge brute en pourcentage des ventes a diminué, passant de 55,2 % au cours de l'exercice 2019 à 51,1 % au cours de l'exercice 2020, ce qui s'explique surtout par l'accroissement des activités de promotion, principalement dans les bannières taille plus, partiellement contrebalancé par l'effet favorable du cours de change sur les achats libellés en dollars américains comptabilisés dans le coût des biens vendus. Le résultat des activités d'exploitation pour l'exercice 2020, qui comprenait une charge de dépréciation du goodwill de 11,8 millions de dollars, s'est traduit par une perte de 51,5 millions de dollars, contre un profit de 18,2 millions de dollars pour l'exercice 2019. Compte non tenu de la charge de dépréciation du goodwill, le résultat des activités d'exploitation de l'exercice 2020 s'est traduit par une perte de 39,7 millions de dollars. La diminution des résultats d'exploitation avant la dépréciation du goodwill de 57,9 millions de dollars pour l'exercice 2020 par rapport à l'exercice 2019 est principalement attribuable à la diminution des ventes et au resserrement de la marge brute, contrées en partie par le recul des charges d'exploitation des magasins. La perte nette de l'exercice 2020 s'est chiffrée à 87,4 millions de dollars (perte par action de base et diluée de 1,56 $), comparativement à un bénéfice net de 6,8 millions de dollars (bénéfice par action de base et dilué de 0,11 $) pour l'exercice 2019. Cette variation défavorable de 94,2 millions de dollars comprend l'incidence défavorable de l'IFRS 16 qui s'est chiffrée à 3,1 millions de dollars. Si l'on ne tient pas compte de cette incidence de 3,1 millions de dollars attribuable à l'IFRS 16, la détérioration du bénéfice net de 91,1 millions de dollars est principalement attribuable à la diminution des ventes, à la réduction de la marge brute, à la charge de dépréciation du goodwill et à la hausse de la charge d'impôt sur le résultat, contrées en partie par le recul des charges d'exploitation des magasins. Compte non tenu de l'incidence de la dépréciation du goodwill au cours de l'exercice 2020, la perte nette de l'exercice 2020 s'est établie à 75,6 millions de dollars (perte par action de base et diluée de 1,35 $), comparativement à un bénéfice net de 6,8 millions de dollars (bénéfice par action de base et dilué de 0,11 $) pour l'exercice 2019. Pour l'exercice 2020, le BAIIA ajusté1 s'est chiffré à 63,0 millions de dollars, comparativement à 57,7 millions de dollars pour l'exercice 2019. L'accroissement du BAIIA ajusté tient compte de l'incidence favorable de l'adoption de l'IFRS 16 de 72,8 millions de dollars. Compte non tenu de cette incidence de 72,8 millions de dollars attribuable à l'IFRS 16, le BAIIA ajusté pour l'exercice 2020 s'est élevé à (9,8) million de dollars, comparativement à 57,7 millions de dollars pour l'exercice 2019, ce qui représente une baisse de 67,5 millions de dollars. La baisse tient essentiellement à la diminution de la marge brute. Période de 13 semaines close le 1er novembre 2020 Les ventes du quatrième trimestre de l'exercice 2020 ont augmenté de 2,3 millions de dollars, ou 1,0 %, par rapport à la période de 13 semaines close le 2 février 2019 (« quatrième trimestre de l'exercice 2019 ») pour s'établir à 229,2 millions de dollars, principalement en raison de la croissance des ventes réalisées par l'intermédiaire des sites de commerce électronique de la société, malgré une réduction nette de 18 magasins. La société continue d'exécuter son plan de vente dans le contexte omnicanal du secteur du détail en réduisant la présence de ses magasins dans certains marchés tout en améliorant ses capacités liées au commerce électronique. Les ventes de magasins comparables, qui comprennent les ventes en magasin et les ventes du commerce électronique, ont augmenté de 5,0 %. Cette hausse tient essentiellement à l'augmentation de 3,1 % du nombre global de transactions. La société continue d'enregistrer une vigoureuse croissance grâce à ses canaux de vente en ligne. La marge brute du quatrième trimestre de l'exercice 2020 a diminué de 15,1 millions de dollars, ou 12,7 %, pour s'établir à 104,0 millions de dollars, comparativement à 119,1 millions de dollars pour le quatrième trimestre de l'exercice 2019. La marge brute en pourcentage des ventes a diminué, passant de 52,5 % à 45,4 % au quatrième trimestre de l'exercice 2019, principalement en raison de l'accroissement des activités de promotion, surtout dans les bannières taille plus, partiellement contrebalancé par l'effet favorable du cours de change sur les achats libellés en dollars américains comptabilisés dans le coût des biens vendus. Le résultat des activités d'exploitation s'est traduit par une perte de 21,1 millions de dollars pour le quatrième trimestre de l'exercice 2020, comparativement à une perte de 1,9 million de dollars pour le quatrième trimestre de l'exercice 2019, ce qui représente un accroissement de la perte de 19,2 millions de dollars. Cette diminution du résultat des activités d'exploitation est essentiellement attribuable à la réduction de la marge brute et à une hausse des frais de vente et de distribution et des charges administratives. La perte nette pour le quatrième trimestre de l'exercice 2020 s'est chiffrée à 51,7 millions de dollars (perte par action de base et diluée de 1,06 $), comparativement à une perte nette de 8,9 millions de dollars (perte par action de base et diluée de 0,14 $) pour le quatrième trimestre de l'exercice 2019. Cette variation défavorable de 42,8 millions de dollars comprend l'incidence défavorable de l'IFRS 16 qui s'est chiffrée à 0,3 million de dollars. Si l'on ne tient pas compte de cette incidence de 0,3 million de dollars attribuable à l'IFRS 16, la détérioration du bénéfice net de 42,5 millions de dollars est principalement attribuable à la charge d'impôt plus élevée, à la réduction de la marge brute et à l'augmentation des frais de vente et de distribution et des charges administratives, facteurs qui ont été contrés en partie par une baisse des charges financières nettes. Pour le quatrième trimestre de l'exercice 2020, le BAIIA ajusté s'est chiffré à 3,5 millions de dollars, comparativement à 7,0 millions de dollars pour le quatrième trimestre de l'exercice 2019, soit une baisse de 3,5 millions de dollars. Le recul du BAIIA ajusté tient compte de l'incidence favorable de l'adoption de l'IFRS 16 de 18,0 millions de dollars. Compte non tenu de cette incidence de 18,0 millions de dollars attribuable à l'IFRS 16, le BAIIA ajusté pour le quatrième trimestre de l'exercice 2020 s'est établi à (14,5) millions de dollars, comparativement à 7,0 millions de dollars pour le quatrième trimestre de l'exercice 2019, ce qui représente une baisse de 21,5 millions de dollars. La baisse tient essentiellement à la diminution de la marge brute. Adoption de l'IFRS 16, Contrats de location La société a adopté l'IFRS 16, Contrats de location, qui remplace l'IAS 17, Contrats de location et les interprétations connexes, en appliquant l'approche rétrospective modifiée, avec prise d'effet pour l'exercice ouvert le 3 février 2019. Par conséquent, les résultats de la société pour le quatrième trimestre et l'exercice 2020 reflètent la comptabilisation de contrats de location selon l'IFRS 16. Les chiffres comparatifs pour le quatrième trimestre et l'exercice 2019 n'ont pas été retraités et continuent d'être présentés conformément à l'IAS 17, Contrats de location. Il y a lieu de se reporter à la note 3 des états financiers consolidés audités de la société pour l'exercice 2020 pour plus de précisions sur la mise en œuvre de l'IFRS 16. Faits nouveaux L'épidémie de maladie à coronavirus (COVID-19) a des répercussions majeures sur la société puisque celle-ci a été forcée de fermer tous ses magasins de détail au pays à compter du 17 mars 2020, et ce, jusqu'à nouvel ordre. Depuis le 18 mars 2020, les seules ventes de la société proviennent de ses sites de commerce électronique. La durée et les conséquences de la pandémie sont inconnues, et elles pourraient influencer le comportement de magasinage et la demande des consommateurs, y compris pour ce qui est des achats en ligne. Étant donné toute l'incertitude qui entoure la pandémie, la société ne peut actuellement prévoir à quel moment elle pourra rouvrir tous ses magasins de détail. Au vu de la situation de trésorerie de la société à la date du présent communiqué de presse, compte tenu de la résiliation et de la réduction des montants disponibles aux termes des facilités de crédit de la société qui sont exposées en détail à la note 26 des états financiers consolidés, et à la lumière de l'incertitude qui entoure la pandémie, la société estime que du financement sera nécessaire pour lui permettre de s'acquitter de ses obligations financières actuelles et futures. La société recherche activement du financement supplémentaire et elle explore également diverses alternatives. Cependant, rien ne garantit qu'un financement pourra être obtenu dans les courts délais requis, ni qu'il sera suffisant. Si la société est incapable d'obtenir un financement dans les courts délais requis, elle pourrait être dans l'impossibilité de poursuivre son exploitation. La capacité de la société à poursuivre son exploitation sera tributaire de sa capacité à reprendre ses activités d'exploitation normales, à générer des produits futurs et des activités rentables et à obtenir du financement. Ainsi, cette situation indique l'existence d'une incertitude significative susceptible de jeter un doute important sur la capacité de la société à poursuivre son exploitation et, par conséquent, de réaliser ses actifs et de régler ses passifs dans le cadre normal de ses activités. Les états financiers consolidés de l'exercice 2020 ont été préparés selon l'hypothèse de la continuité de l'exploitation, laquelle suppose que la société poursuivra ses activités d'exploitation dans un avenir prévisible et pourra réaliser ses actifs et régler ses passifs et ses engagements dans le cadre normal de ses activités. Les états financiers consolidés de l'exercice 2020 ne comprennent pas les ajustements de la valeur comptable et du classement des actifs, des passifs et des charges comptabilisés qui pourraient autrement s'imposer si l'hypothèse de la continuité de l'exploitation n'était pas appropriée. De tels ajustements pourraient être importants. Il est impossible d'estimer de manière fiable la durée et la gravité de la pandémie de même que l'incidence qu'elle aura sur les résultats financiers et la situation financière de la société au cours des périodes futures. Au cours de l'exercice 2021, la société examinera les plus récents faits nouveaux et conséquences de la pandémie, y compris les évaluations actualisées des flux de trésorerie futurs. Toute incidence additionnelle découlant de la pandémie sera reflétée dans les résultats financiers de l'exercice 2021, s'il y a lieu. Dividendes Lors de l'assemblée du conseil d'administration tenue le 1er mai 2020, dans le but de conserver des liquidités pour financer les activités courantes, le conseil a décidé de suspendre le dividende trimestriel en trésorerie. La société continuera d'évaluer sur une base trimestrielle le montant des dividendes futurs éventuels. À propos de Reitmans (Canada) Limitée La société est un important détaillant de vêtements pour femmes qui compte des magasins de vente au détail dans l'ensemble du Canada. La société exploite 582 magasins, soit 260 Reitmans, 111 Penningtons, 77 Addition Elle, 80 RW & CO. et 54 Thyme Maternité. 1Mesures financières non conformes aux PCGR La société a déterminé plusieurs mesures de rendement clés et mesures financières non conformes aux PCGR qui, de l'avis de la direction, sont utiles pour évaluer le rendement de la société; les lecteurs sont toutefois prévenus que certaines de ces mesures n'ont pas nécessairement de définition normalisée aux termes des IFRS et, de ce fait, peuvent ne pas être comparables à des expressions semblables utilisées par d'autres sociétés. En plus de traiter du bénéfice conformément aux IFRS, le présent communiqué de presse contient des références au bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement ajusté (le « BAIIA ajusté »), à titre de mesure financière non conforme aux PCGR. Le BAIIA ajusté se définit en tant que bénéfice net avant la charge ou le recouvrement d'impôt sur le résultat, les produits de dividendes, les produits d'intérêts, la variation nette de la juste valeur et la perte à la sortie de titres négociables, les charges d'intérêts, la dépréciation du goodwill, les amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles et les pertes de valeur nettes. Le tableau suivant effectue le rapprochement entre la mesure conforme aux PCGR la plus comparable, soit le bénéfice net ou la perte nette, et le BAIIA ajusté. La direction est d'avis que le BAIIA ajusté est un important indicateur de la capacité de la société à générer des liquidités au moyen des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation pour financer les besoins en fonds de roulement et les dépenses d'investissement en immobilisations, et elle utilise cette mesure à ces fins. L'exclusion des produits de dividendes, des produits et des charges d'intérêts et de la variation nette de la juste valeur et la perte à la sortie de titres négociables élimine l'incidence sur le bénéfice tiré d'activités autres que d'exploitation. L'exclusion des amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles et des charges au titre des pertes de valeur élimine l'incidence hors trésorerie. Le BAIIA ajusté a pour but de fournir des informations additionnelles utiles aux investisseurs et aux analystes. Cette mesure n'a pas de définition normalisée aux termes des IFRS. Bien que les variations des amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles et des charges au titre des pertes de valeur constituent des charges hors trésorerie, les actifs amortis devront fréquemment être remplacés ultérieurement; par conséquent, le BAIIA ajusté ne reflète pas les besoins de trésorerie pour ces remplacements. Le BAIIA ajusté ne devrait pas être considéré à titre de trésorerie discrétionnaire qui peut être investie dans la croissance de l'entreprise ou encore à titre de mesure de la trésorerie qui sera disponible pour satisfaire aux obligations de la société. D'autres sociétés peuvent calculer le BAIIA ajusté différemment. De temps à autre, la société peut exclure des éléments additionnels si elle croit qu'elle pourra ainsi arriver à une analyse plus efficace du rendement opérationnel sous-jacent. L'exclusion de certains éléments ne signifie pas qu'ils sont non récurrents. Le BAIIA ajusté ne devrait pas servir de substitut aux mesures de la performance calculées selon les IFRS ni être considéré comme une solution de rechange au bénéfice net, aux entrées nettes de trésorerie liées aux activités d'exploitation, d'investissement ou de financement, ou à toute autre donnée contenue dans les états financiers et présentée à titre d'indicateur de la performance financière ou de la capacité de la société à générer des liquidités, qui sont tous des facteurs présentés conformément aux IFRS. Bien que le BAIIA ajusté est souvent utilisé par les analystes en valeurs mobilières, les prêteurs et les autres intervenants pour évaluer les sociétés, cette mesure comporte des limites à titre d'outil d'analyse et ne devrait pas être prise en compte isolément ni servir de substitut dans l'analyse des résultats de la société présentés conformément aux IFRS. La société considère que les résultats des activités d'exploitation sont une mesure utile de la performance de ses activités de vente au détail. Comme la société a comptabilisé une charge de dépréciation du goodwill pour l'exercice 2020, elle a aussi déterminé que les résultats des activités d'exploitation avant la dépréciation du goodwill pourraient constituer une mesure financière non conforme aux PCGR utile, comme il est indiqué aux rubriques « RÉSULTATS D'EXPLOITATION DE L'EXERCICE 2020 EN REGARD DE CEUX DE L'EXERCICE 2019 » et « SOMMAIRE DES RÉSULTATS TRIMESTRIELS » du rapport de gestion de l'exercice 2020. De plus, (la perte) le bénéfice de base et dilué(e) par action a été présenté(e) en excluant la dépréciation du goodwill, ce qui élimine l'incidence de la dépréciation du goodwill sur (la perte nette) le bénéfice net aux fins du calcul. Ces deux mesures financières non conformes aux PCGR présentent des renseignements jugés utiles et elles ne doivent pas être considérées isolément ou comme substitut aux mesures de rendement calculées selon les IFRS. La société utilise les ventes des magasins comparables comme indicateur de rendement clé (« IRC ») pour évaluer le rendement des magasins et la croissance des ventes. La société met en œuvre une approche omnicanal pour établir un lien avec ses clients en s'alignant sur leurs habitudes d'achat par l'entremise de canaux de vente en ligne ou en magasin. Cette approche permet aux clients de magasiner en ligne pour la livraison à domicile, l'achat dans l'un de nos magasins ou l'expédition à domicile à partir d'un autre magasin lorsque les produits ne sont pas disponibles dans un magasin donné. En raison de ce comportement, la société présente une seule mesure des ventes des magasins comparables qui inclut les ventes réalisées en magasin et par l'intermédiaire des sites de commerce électronique. Les ventes des magasins comparables constituent les ventes générées par des magasins ouverts continuellement pendant les deux périodes comparées et comprennent les ventes en ligne. Les ventes des magasins comparables ne comprennent pas les ventes des comptes clients liés aux ventes en gros. Les ventes des magasins comparables sont mesurées en fonction des mêmes jours civils pour chacune des périodes. Même si cet IRC est exprimé comme un ratio, il constitue une mesure financière non conforme aux PCGR qui n'a pas de définition normalisée aux termes des IFRS et peut ne pas être comparable à des mesures semblables utilisées par d'autres sociétés. La direction utilise les ventes des magasins comparables pour évaluer le rendement des magasins et des ventes en ligne et juge cette mesure utile pour déterminer la part de nouvelles ventes provenant de la croissance des ventes et la part pouvant être attribuée à l'ouverture de nouveaux magasins. Les ventes des magasins comparables constituent une mesure couramment utilisée par les détaillants et sont considérées comme un renseignement utile tant par les investisseurs que par les analystes. Les ventes des magasins comparables ne devraient pas être considérées isolément ou comme substitut aux mesures de rendement calculées selon les IFRS. Le tableau qui suit présente le rapprochement (de la perte nette) du bénéfice net au BAIIA ajusté :
Déclarations prospectives À l'exception des déclarations de fait, lesquelles sont vérifiables indépendamment à la date des présentes, toutes les déclarations contenues dans ce communiqué sont prospectives. Toutes les déclarations, formulées d'après les attentes actuelles de la direction, comportent de nombreux risques et incertitudes, connus ou non, dont un nombre important est indépendant de la volonté de la société. En conséquence, les résultats réels futurs peuvent s'avérer considérablement différents des résultats prévus contenus dans les déclarations prospectives, qui reflètent les attentes de la société uniquement en date du présent communiqué de presse. Les déclarations prospectives sont fondées sur les estimations, les opinions et les hypothèses actuelles de la société, qui reposent sur la perception de la direction à l'égard des tendances historiques, des conditions actuelles et de l'évolution future prévue ainsi que d'autres facteurs qu'elle juge appropriés dans les circonstances. Le présent communiqué de presse renferme des déclarations prospectives au sujet des objectifs, des plans, des buts, des aspirations, des stratégies, de la situation financière, des résultats d'exploitation, des flux de trésorerie, du rendement et des perspectives de la société, ainsi que des occasions qui s'offrent à elle et des questions d'ordre juridique et réglementaire qui la concernent. Des déclarations prospectives spécifiques dans le présent communiqué de presse comprennent notamment des déclarations concernant les convictions de la société à l'égard de ses stratégies et de ses marques et leur capacité de générer une croissance rentable à long terme, les liquidités futures, les dépenses d'investissement en immobilisations planifiées, le montant des cotisations versées au régime de retraite, l'état et l'incidence de la mise en œuvre de systèmes, la capacité de la société à mettre en œuvre avec succès ses initiatives stratégiques et ses initiatives au chapitre de la réduction des coûts et de l'amélioration de la productivité ainsi que l'incidence de telles initiatives. Ces déclarations prospectives spécifiques se retrouvent dans l'ensemble du rapport de gestion de la société et comprennent celles qui sont mentionnées aux rubriques intitulées « Gestion des risques d'exploitation » et « Gestion des risques financiers » du rapport de gestion de la société. Les déclarations prospectives se reconnaissent généralement à l'emploi de termes comme « prévoir », « s'attendre à », « croire », « pourrait », « estimer », « avoir l'intention de », « planifier », « chercher à », « s'efforcer » et d'autres expressions semblables et à l'utilisation du futur et du conditionnel en ce qui concerne la société et sa gestion. De nombreux risques et incertitudes pourraient faire en sorte que les résultats réels de la société diffèrent sensiblement de ceux qui sont exprimés, sous-entendus ou projetés dans les déclarations prospectives. Il y a lieu de se reporter à la rubrique intitulée « Déclarations prospectives » du rapport de gestion de la société pour l'exercice 2020. D'autres risques et incertitudes que la société ne connaît pas à l'heure actuelle ou qu'elle ne juge actuellement pas importants pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent sensiblement de ceux qui sont exprimés dans ses déclarations prospectives. Des risques et incertitudes supplémentaires sont analysés dans les documents que la société dépose à l'occasion auprès des autorités de réglementation canadiennes en valeurs mobilières. Les lecteurs sont avisés de ne pas accorder une confiance exagérée à toute déclaration prospective ci-incluse. Ces déclarations traitent seulement de la situation à la date où elles ont été exprimées et la société n'a aucune obligation et nie toute intention de mettre à jour ou de revoir de telles déclarations à la suite d'un quelconque événement, circonstance ou autre, sauf si les lois sur les valeurs mobilières qui s'appliquent l'y obligent. Les états financiers complets de la société, ainsi que les notes y afférentes et le rapport de gestion pour l'exercice 2020, sont disponibles sur le Web, à l'adresse www.sedar.com. Montréal, le 1er mai 2020 Stephen F. Reitman
SOURCE Reitmans (Canada) Limitée Pour plus de renseignements: Stephen F. Reitman, Le président et chef de la direction, Téléphone : (514) 384-1140 |