<< [Retour aux communiqués de presse] Reitmans (Canada) Limitée annonce ses résultats pour les périodes de 13 et de 26 semaines closes le 3 août 2019 3 septembre 2019 MONTRÉAL, le 3 sept. 2019 /CNW Telbec/ - À moins d'indications contraires, les résultats de la société pour les 13 semaines closes le 3 août 2019 (le « deuxième trimestre de l'exercice 2020 ») et ses résultats pour les 26 semaines closes le 3 août 2019 (le « premier semestre de l'exercice 2020 ») rendent compte de l'incidence de la mise en œuvre de l'IFRS 16, comme il en est question ci-après à la rubrique « Adoption de l'IFRS 16, Contrats de location ». Période de 13 semaines close le 3 août 2019 Les ventes du deuxième trimestre de l'exercice 2020 se sont établies à 232,8 millions de dollars, comparativement à 248,8 millions de dollars pour les 13 semaines closes le 4 août 2018 (le « deuxième trimestre de l'exercice 2019 »). La baisse de 16,0 millions de dollars tient principalement à une réduction nette de 45 magasins, aux ventes moins importantes que prévu et aux conditions météorologiques inhabituelles qui ont prévalu au cours de la première partie du deuxième trimestre de l'exercice 2020. La société continue d'exécuter son plan, s'adaptant au nouvel environnement dans le secteur du détail en réduisant la présence de ses magasins dans certains marchés tout en améliorant ses capacités de commerce électronique. Les ventes de magasins comparables1, qui comprennent les ventes du commerce électronique, ont diminué de 1,9 %. La diminution tient essentiellement au fait que l'achalandage des magasins a reculé de 3,2 % pour le deuxième trimestre de l'exercice 2020. La société continue d'enregistrer une vigoureuse croissance grâce à ses canaux de vente en ligne. La marge brute du deuxième trimestre de l'exercice 2020 a diminué de 14,9 millions de dollars, ou 10,8 %, pour s'établir à 122,7 millions de dollars, comparativement à 137,6 millions de dollars pour le deuxième trimestre de l'exercice 2019, diminution qui s'explique principalement par la réduction nette de 45 magasins et par les ventes moins importantes que prévu. La marge brute en pourcentage des ventes a diminué, passant de 55,3 % au cours du deuxième trimestre de l'exercice 2019 à 52,7 % au cours du deuxième trimestre de l'exercice 2020. Le résultat des activités d'exploitation s'est chiffré à 1,9 million de dollars pour le deuxième trimestre de l'exercice 2020, comparativement à 10,2 millions de dollars pour le deuxième trimestre de l'exercice 2019, ce qui représente une diminution de 8,3 millions de dollars. Cette diminution est essentiellement attribuable à la réduction de 14,9 millions de dollars de la marge brute, atténuée par une baisse des frais de vente et de distribution et des charges administratives de 6,6 millions de dollars. La perte nette pour le deuxième trimestre de l'exercice 2020 s'est chiffrée à 0,1 million de dollars (perte par action de base et diluée de 0,00 $), comparativement à un bénéfice net de 10,0 millions de dollars (bénéfice par action de base et dilué de 0,16 $) pour le deuxième trimestre de l'exercice 2019. Cette variation défavorable de 10,1 millions de dollars comprend l'incidence défavorable de l'IFRS 16 qui s'est chiffrée à 1,0 million de dollars. Si l'on ne tient pas compte de cette incidence de 1,0 million de dollars attribuable à l'IFRS 16, la détérioration du bénéfice net de 9,1 millions de dollars est principalement attribuable à la diminution des ventes, à la réduction de la marge brute et à la hausse des charges financières nettes, contrées en partie par le recul des charges d'exploitation des magasins et la hausse du recouvrement d'impôt sur le résultat. Pour le deuxième trimestre de l'exercice 2020, le BAIIA ajusté1 s'est chiffré à 27,4 millions de dollars, comparativement à 21,4 millions de dollars pour le deuxième trimestre de l'exercice 2019, ce qui représente une hausse de 6,0 millions de dollars. L'accroissement du BAIIA ajusté tient compte de l'incidence favorable de l'adoption de l'IFRS 16 de 18,1 millions de dollars. Compte non tenu de cette incidence de 18,1 millions de dollars attribuable à l'IFRS 16, le BAIIA ajusté pour le deuxième trimestre de l'exercice 2020 s'est élevé à 9,3 millions de dollars, comparativement à 21,4 millions de dollars pour le deuxième trimestre de l'exercice 2019, ce qui représente une baisse de 12,1 millions de dollars. La baisse tient essentiellement à la diminution de la marge brute. Période de 26 semaines close le 3 août 2019 Les ventes du premier semestre de l'exercice 2020 se sont établies à 418,0 millions de dollars, comparativement à 456,4 millions de dollars pour les 26 semaines closes le 4 août 2018 (le « premier semestre de l'exercice 2019 »). La baisse de 38,4 millions de dollars tient principalement à une réduction nette de 45 magasins, aux ventes moins importantes que prévu et aux conditions météorologiques inhabituelles qui ont prévalu au cours de la première partie du premier semestre de l'exercice 2020. La société continue d'exécuter son plan, s'adaptant au nouvel environnement dans le secteur du détail en réduisant la présence de ses magasins dans certains marchés tout en améliorant ses capacités de commerce électronique. Les ventes de magasins comparables1, qui comprennent les ventes du commerce électronique, ont diminué de 3,6 %. La diminution tient essentiellement au fait que l'achalandage des magasins a reculé de 4,2 % pour le premier semestre de l'exercice 2020. La société continue d'enregistrer une vigoureuse croissance grâce à ses canaux de vente en ligne. La marge brute du premier semestre de l'exercice 2020 a diminué de 29,4 millions de dollars, ou 11,6 %, pour s'établir à 224,5 millions de dollars, comparativement à 253,9 millions de dollars pour le premier semestre de l'exercice 2019. Cette diminution s'explique principalement par la réduction nette de 45 magasins et par les ventes moins importantes que prévu. La marge brute en pourcentage des ventes a diminué, passant de 55,6 % au cours du premier semestre de l'exercice 2019 à 53,7 % au cours du premier semestre de l'exercice 2020. Le résultat des activités d'exploitation s'est traduit par une perte de 11,2 millions de dollars pour le premier semestre de l'exercice 2020, comparativement à un bénéfice de 5,9 millions de dollars pour le premier semestre de l'exercice 2019, ce qui représente une diminution de 17,1 millions de dollars. Cette diminution est essentiellement attribuable à la réduction de 29,4 millions de dollars de la marge brute, atténuée par une baisse des frais de vente et de distribution et des charges administratives de 12,3 millions de dollars. La perte nette pour le premier semestre de l'exercice 2020 s'est chiffrée à 12,7 millions de dollars (perte par action de base et diluée de 0,20 $), comparativement à un bénéfice net de 6,8 millions de dollars (bénéfice par action de base et dilué de 0,11 $) pour le premier semestre de l'exercice 2019. La variation défavorable de 19,5 millions de dollars comprend l'incidence défavorable de l'IFRS 16 qui s'est chiffrée à 2,3 millions de dollars. Si l'on ne tient pas compte de cette incidence de 2,3 millions de dollars attribuable à l'IFRS 16, la détérioration du bénéfice net de 17,2 millions de dollars est principalement attribuable à la diminution des ventes, au resserrement de la marge brute et à la hausse des charges financières nettes, contrées en partie par le recul des charges d'exploitation des magasins et la hausse du recouvrement d'impôt sur le résultat. Pour le premier semestre de l'exercice 2020, le BAIIA ajusté1 s'est chiffré à 40,9 millions de dollars, comparativement à 28,3 millions de dollars pour le premier semestre de l'exercice 2019, ce qui représente une hausse de 12,6 millions de dollars. L'accroissement du BAIIA ajusté tient compte de l'incidence favorable de l'adoption de l'IFRS 16 de 36,3 millions de dollars. Compte non tenu de cette incidence de 36,3 millions de dollars attribuable à l'IFRS 16, le BAIIA ajusté pour le premier semestre de l'exercice 2020 s'est élevé à 4,6 millions de dollars, comparativement à 28,3 millions de dollars pour le premier semestre de l'exercice 2019, ce qui représente une baisse de 23,7 millions de dollars. La baisse tient essentiellement à la diminution de la marge brute. Adoption de l'IFRS 16, Contrats de location La société a adopté l'IFRS 16, Contrats de location, qui remplace l'IAS 17, Contrats de location et les interprétations connexes, en appliquant l'approche rétrospective modifiée, avec prise d'effet pour l'exercice ouvert le 3 février 2019. Par conséquent, les résultats de la société pour le deuxième trimestre et le premier semestre de l'exercice 2020 reflètent la comptabilisation de contrats de location selon l'IFRS 16. Les chiffres comparatifs pour le deuxième trimestre et le premier semestre de l'exercice 2019 n'ont pas été retraités et continuent d'être présentés conformément à l'IAS 17, Contrats de location. Il y a lieu de se reporter à la note 3 des états financiers consolidés intermédiaires résumés non audités pour le deuxième trimestre de l'exercice 2020 pour plus de précisions sur la mise en œuvre de l'IFRS 16. Dividendes Lors de l'assemblée du conseil d'administration tenue le 3 septembre 2019, un dividende trimestriel en trésorerie (constituant des dividendes admissibles) de 0,05 $ par action a été déclaré pour la totalité des actions de catégorie A sans droit de vote et des actions ordinaires en circulation de la société. Le dividende est payable le 24 octobre 2019 aux actionnaires inscrits aux registres le 10 octobre 2019. Ventes pour les quatre semaines closes le 31 août 2019 Les ventes pour le mois d'août (soit les quatre semaines closes le 31 août 2019) ont reculé de 7,1 %. Les ventes de magasins comparables1 ont reculé de 3,6 %. À propos de Reitmans (Canada) Limitée La société est un important détaillant de vêtements pour femmes qui compte des magasins de vente au détail dans l'ensemble du Canada. La société exploite 591 magasins, soit 258 Reitmans, 114 Penningtons, 80 Addition Elle, 81 RW & CO. et 58 Thyme Maternité. 1Mesures financières non conformes aux PCGR La société a déterminé plusieurs mesures de rendement clés et mesures financières non conformes aux PCGR qui, de l'avis de la direction, sont utiles pour évaluer le rendement de la société; les lecteurs sont toutefois prévenus que certaines de ces mesures n'ont pas nécessairement de définition normalisée aux termes des IFRS et, de ce fait, peuvent ne pas être comparables à des expressions semblables utilisées par d'autres sociétés. En plus de traiter du bénéfice conformément aux IFRS, le présent communiqué de presse contient des références au bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement ajusté (le « BAIIA ajusté »), à titre de mesure financière non conforme aux PCGR. Le BAIIA ajusté se définit en tant que bénéfice net avant la charge ou le recouvrement d'impôt sur le résultat, les produits de dividendes, les produits d'intérêts, la variation nette de la juste valeur des titres négociables, les profits ou les pertes réalisés à la sortie de titres négociables, les charges d'intérêts, la dépréciation du goodwill, les amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles et les pertes de valeur nettes. Le tableau suivant effectue le rapprochement entre la mesure conforme aux PCGR la plus comparable, soit le bénéfice net ou la perte nette, et le BAIIA ajusté. La direction est d'avis que le BAIIA ajusté est un important indicateur de la capacité de la société à générer des liquidités au moyen des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation pour financer les besoins en fonds de roulement et les dépenses d'investissement en immobilisations, et elle utilise cette mesure à ces fins. L'exclusion des produits de dividendes, des produits et des charges d'intérêts et de la variation nette de la juste valeur des titres négociables élimine l'incidence sur le bénéfice tiré d'activités autres que d'exploitation. L'exclusion des amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles et des charges au titre des pertes de valeur élimine l'incidence hors trésorerie. Le BAIIA ajusté a pour but de fournir des informations additionnelles utiles aux investisseurs et aux analystes. Cette mesure n'a pas de définition normalisée aux termes des IFRS. Bien que les variations des amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles et des charges au titre des pertes de valeur constituent des charges hors trésorerie, les actifs amortis devront fréquemment être remplacés ultérieurement; par conséquent, le BAIIA ajusté ne reflète pas les besoins de trésorerie pour ces remplacements. Le BAIIA ajusté ne devrait pas être considéré à titre de trésorerie discrétionnaire qui peut être investie dans la croissance de l'entreprise ou encore à titre de mesure de la trésorerie qui sera disponible pour satisfaire aux obligations de la société. D'autres sociétés peuvent calculer le BAIIA ajusté différemment. De temps à autre, la société peut exclure des éléments additionnels si elle croit qu'elle pourra ainsi arriver à une analyse plus efficace du rendement opérationnel sous-jacent. L'exclusion de certains éléments ne signifie pas qu'ils sont non récurrents. Le BAIIA ajusté ne devrait pas servir de substitut aux mesures de la performance calculées selon les IFRS ni être considéré comme une solution de rechange au bénéfice net, aux entrées nettes de trésorerie liées aux activités d'exploitation, d'investissement ou de financement, ou à toute autre donnée contenue dans les états financiers et présentée à titre d'indicateur de la performance financière ou de la capacité de la société à générer des liquidités, qui sont tous des facteurs présentés conformément aux IFRS. Bien que le BAIIA ajusté est souvent utilisé par les analystes en valeurs mobilières, les prêteurs et les autres intervenants pour évaluer les sociétés, cette mesure comporte des limites à titre d'outil d'analyse et ne devrait pas être prise en compte isolément ni servir de substitut dans l'analyse des résultats de la société présentés conformément aux IFRS. La société utilise les ventes des magasins comparables comme indicateur de rendement clé (« IRC ») pour évaluer le rendement des magasins et la croissance des ventes. La société a adopté une approche omnicanal pour rejoindre les clients. Vu le comportement des clients qui passent d'un canal à l'autre, la société a lancé des initiatives qui s'adressent à leurs habitudes de magasinage en ligne ou en magasin. Cette approche permet aux clients de magasiner en ligne puis de se faire livrer leurs achats à domicile ou d'aller les ramasser en magasin, de faire des achats dans n'importe quel magasin de la société ou de se faire livrer des articles à domicile à partir des magasins lorsqu'ils ne sont pas disponibles sur place. En raison de ce comportement, la société présente une seule mesure des ventes des magasins comparables qui inclut les ventes réalisées en magasin et par l'intermédiaire des sites de commerce électronique. Les ventes des magasins comparables constituent les ventes générées par des magasins ouverts continuellement pendant les deux périodes comparées et comprennent les ventes en ligne. Les ventes des magasins comparables ne comprennent pas les ventes des comptes clients liés aux ventes en gros. Les ventes des magasins comparables sont mesurées en fonction des mêmes jours civils pour chacune des périodes. Même si cet IRC est exprimé comme un ratio, il constitue une mesure financière non conforme aux PCGR qui n'a pas de définition normalisée aux termes des IFRS et peut ne pas être comparable à des mesures semblables utilisées par d'autres sociétés. La direction utilise les ventes des magasins comparables pour évaluer le rendement des magasins et des ventes en ligne et juge cette mesure utile pour déterminer la part de nouvelles ventes provenant de la croissance des ventes et la part pouvant être attribuée à l'ouverture de nouveaux magasins. Les ventes des magasins comparables constituent une mesure couramment utilisée par les détaillants et sont considérées comme un renseignement utile tant par les investisseurs que par les analystes. Les ventes des magasins comparables ne devraient pas être considérées isolément ou comme substitut aux mesures de rendement calculées selon les IFRS. Le tableau qui suit présente le rapprochement (de la perte nette) du bénéfice net au BAIIA ajusté :
Déclarations prospectives À l'exception des déclarations de fait, lesquelles sont vérifiables indépendamment à la date des présentes, toutes les déclarations contenues dans ce communiqué sont prospectives. Toutes les déclarations, formulées d'après les attentes actuelles de la direction, comportent de nombreux risques et incertitudes, connus ou non, dont un nombre important est indépendant de la volonté de la société. En conséquence, les résultats réels futurs peuvent s'avérer considérablement différents des résultats prévus contenus dans les déclarations prospectives, qui reflètent les attentes de la société uniquement en date du présent communiqué de presse. Les déclarations prospectives sont fondées sur les estimations, les opinions et les hypothèses actuelles de la société, qui reposent sur la perception de la direction à l'égard des tendances historiques, des conditions actuelles et de l'évolution future prévue ainsi que d'autres facteurs qu'elle juge appropriés dans les circonstances. Le présent communiqué de presse renferme des déclarations prospectives au sujet des objectifs, des plans, des buts, des aspirations, des stratégies, de la situation financière, des résultats d'exploitation, des flux de trésorerie, du rendement et des perspectives de la société, ainsi que des occasions qui s'offrent à elle et des questions d'ordre juridique et réglementaire qui la concernent. Les déclarations prospectives dans le présent communiqué de presse comprennent notamment des déclarations concernant les résultats et événements futurs prévus de la société, les liquidités futures, les dépenses d'investissement en immobilisations planifiées, le montant des cotisations versées au régime de retraite, l'état et l'incidence de la mise en œuvre de systèmes, la capacité de la société à mettre en œuvre avec succès ses initiatives stratégiques et ses initiatives au chapitre de la réduction des coûts et de l'amélioration de la productivité ainsi que l'incidence de telles initiatives. Ces déclarations prospectives spécifiques se retrouvent dans l'ensemble du rapport de gestion de la société et comprennent celles qui sont mentionnées à la rubrique intitulée « Gestion des risques d'exploitation et des risques financiers » du rapport de gestion de la société. Les déclarations prospectives se reconnaissent généralement à l'emploi de termes comme « prévoir », « s'attendre à », « croire », « pourrait », « estimer », « avoir l'intention de », « planifier », « chercher à », « s'efforcer » et d'autres expressions semblables et à l'utilisation du futur et du conditionnel en ce qui concerne la société et sa gestion. De nombreux risques et incertitudes pourraient faire en sorte que les résultats réels de la société diffèrent sensiblement de ceux qui sont exprimés, sous-entendus ou projetés dans les déclarations prospectives. Il y a lieu de se reporter à la rubrique intitulée « Déclarations prospectives » du rapport de gestion de la société pour le deuxième trimestre de l'exercice 2020. D'autres risques et incertitudes que la société ne connaît pas à l'heure actuelle ou qu'elle ne juge actuellement pas importants pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent sensiblement de ceux qui sont exprimés dans ses déclarations prospectives. Des risques et incertitudes supplémentaires sont analysés dans les documents que la société dépose à l'occasion auprès des autorités de réglementation canadiennes en valeurs mobilières. Les lecteurs sont avisés de ne pas accorder une confiance exagérée à toute déclaration prospective ci-incluse. Ces déclarations traitent seulement de la situation à la date où elles ont été exprimées et la société n'a aucune obligation et nie toute intention de mettre à jour ou de revoir de telles déclarations à la suite d'un quelconque événement, circonstance ou autre, sauf si les lois sur les valeurs mobilières qui s'appliquent l'y obligent. Les états financiers complets de la société, ainsi que les notes y afférentes et le rapport de gestion pour le deuxième trimestre de l'exercice 2020, sont disponibles sur le Web, à l'adresse www.sedar.com. Montréal, le 3 septembre 2019 Jeremy H. Reitman
SOURCE Reitmans (Canada) Limitée Pour plus de renseignements: Jeremy H. Reitman, Le président du conseil et chef de la direction, Téléphone : (514) 385-2630 |